Monsieur Robert et les flippers

Le résumé:

J’ai écrit Monsieur Robert et les flippers dans la joie et dans la peine. La joie dans le travail du texte que j’ai vu devenir un conte de fées réaliste. La peine dans le sort qui advint à Leah Saunders que j’aimais. Peine aussi pour ce qui ressemble au destin de Monsieur Robert. Je n’aime pas ce mot trop plein de vide : « destin ». Je ne l’aime pas en général, et moins encore s’il s’applique à un personnage romanesque auquel l’auteur ne laisse guère de choix. Hélas ! il fallait pour la joie de l’écriture que le travail avance et impose son libre mouvement… dans la joie. J’insiste sur cette joie existentielle. Comme je l’ai dit à de nombreuses reprises dans mon travail, je suis un écrivain qui à la foi, la foi en ce que nous appelons Dieu. Cette foi m’est une source permanente de joie, permanente, même quand je suis pris par la tristesse. To the happy few !

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