L’Afrique est porteuse d’une joie mystérieuse que je suis incapable de comprendre : la vie, peut-être ? Le tome premier de « O Miserum Africa » est le récit d’une famine. Elle frappe une région de l’Ouganda appelée le Karamoja.Dans ce contexte, la joie peut sembler scandaleuse. Un scandale que j’assume et que seule la foi en ce que nous appelons Dieu peut éventuellement expliquer,comme on pourra le lire. Autant que Son absence la foi dans Sa présence est un mystère, il n’y a donc pas lieu de s’en expliquer.