Sous forme d’un conte, “Les villes-Ruche » est une dystopie et une utopie. Un cauchemar et un rêve éveillés. Comme dans mes autres paroles écrites, la foi chrétienne y joue un grand rôle. Toutefois, je fuis comme la peste toute expression de la foi qui prend la forme d’un prêchi-prêcha qui dénature ce que la foi porte de simple et joyeux. Je l’ai souvent dit : « la foi est un mystère aussi respectable que son absence. » Il est vain de disserter sur un mystère, il faut simplement le laisser s’exprimer sous une forme qui lui est adaptée : la voix humaine, une œuvre d’art, etc.